Contribution
de la Compagnie du Petit Monde d’Avoine,
compagnie
de théâtre jeune public |
|
« Je
est un autre » D’Alain
Recoing Marionnettiste du « Théâtre aux mains
nues ».
« Il
y a trop d’âmes en bois pour ne pas aimer les personnages en
bois qui ont une âme » Jean Cocteau.
Présentation
La
marionnette est un art très populaire, considéré
comme un art à part entière. Il n’a pas le même
impact que peut avoir le théâtre, le cinéma, le cirque
ou même la littérature. Mais le spectacle de marionnettes
fait appel à des disciplines diverses et variées :
les arts plastiques, le théâtre bien sûr, la musique,
le chant, la lumière (marionnettes d’ombre), la danse, et
la liste n’est pas exhaustive.
Leur
origine sacrée les replace dans un domaine artistique contemporain.
Le
spectacle de marionnettes est sorti de ses marionnettes à gaine
(voir guignol) pour aller vers tous les arts.
Le
jeune enfant qui s’initie à cet art va mettre en éveil
aussi bien son corps que son esprit, tout cela d’une façon
ludique.
La
marionnette est considérée comme le plus vieux comédien
du monde. On
peut remarquer qu’actuellement elle intéresse aussi bien
l’adulte que l’enfant.
Définition :
« On
peut considérer comme marionnette toute poupée à
trois dimensions, mobile, expressive et capable d’être investie
d’une personnalité. Les marionnettes sont universelles ».
Tout le monde connaît Pinocchio, Guignol. Si Guignol fait partie
des traditionnelles petites marionnettes à gaine et Pinocchio des
marionnettes à fil, de manipulation plus complexe, il existe aussi
d’autres formes de marionnettes : ombre, à bâton,
à cône, à tringle… La manipulation « directe »,
sans accessoire est facilement utilisable avec des enfants et sera privilégiée.
Elle permet alors une mise en jeu du corps de l’enfant, de sa voix
et fait appel à sa réflexion et à son imaginaire.
Un jeu « secret » se crée entre l’enfant
et sa marionnette. L’enfant est à la fois le maître
(manipulateur) et le complice (il devient acteur, parle pour et à
sa marionnette).
Argumentaire
« L’école
maternelle et l’école élémentaire entretiennent
des liens « naturels » avec la marionnette. Nul
ne conteste la force symbolique de la marionnette comme outil d’expression
privilégié. Elle permet en effet à l’enfant
de créer une distance immédiate entre lui
et le personnage pour montrer ou pour dire. On peut donc le mettre
au service du développement du langage de l’enfant.
L’espace
de fiction ainsi créé lui permet, par personnage interposé,
d’investir la parole et de donner vie symboliquement à des
mondes imaginaires. Mais il ne faut pas utiliser la marionnette de façon
empirique et pragmatique, sans référence à son histoire,
à ses techniques différentes. Ne pas tomber dans une image
figée qui serait très éloignée des formes
de création et des aventures esthétiques.
« Le
pédagogue est d’abord celui qui sait poser les questions,
celui qui sait créer des questions d’étonnement, celui
qui n’enferme pas son disciple : il aide l’enfant à
se découvrir lui-même. » propos
de J.C.Lallias (dans Pédagogie et formation Ed. théâtrales)
ancien conseiller théâtre au ministère de l’éducation
nationale.
La
marionnette permet de rappeler certaines notions, scolaires ou non, que
les enfants enregistreront sans s’en rendre compte. Elle permettra
donc d’aborder le thème « santé »
avec les enfants, de poser des questions, dire tout et son contraire pour
faire réagir, échanger, débattre. Elle permettra
aussi de se mettre en jeu pour dire, montrer, s’exprimer. Dans tous
les cas elle arbore un statut particulier. Elle est neutre et écoutée
de façon différente de l’enseignant.
« C’est
une contribution ludique au développement de « compétence »
de l’enfant (Quoi dire ? Comment le dire ?) dans une situation
donnée prévisible mais aussi dans des conditions d’improvisation.
L’art des marionnettes participe au bon développement de
la psychomotricité (manipulation, geste, rythme), à l’éveil
artistique et technique (confection de la marionnette et des décors,
bande sonore) au développement de la compétence linguistique
écrite et orale (quels mots et quel ton conviennent à tel
ou tel personnage ?) ».
Ainsi
les messages passent par un autre personnage. Pour un enfant timide, il
est beaucoup plus facile de s’investir dans un personnage construit
soit collectivement soit individuellement, de « se cacher »
derrière son personnage. ». Dans le premier cas, la
coopération et le travail de groupe sont favorisés et dans
le deuxième cas, l’enfant s’affirme au travers du personnage
construit par lui-même à son idée.
Un
jeu de construction et de manipulation :
Pour
créer et donner vie à la marionnette, il faut : imaginer,
anticiper, dessiner (tailler, couper, modeler, sculpter, broder…),
choisir, décider, s’amuser (ce stade ludique de fabrication
est primordial pour s’approprier la marionnette). Naissent alors
diverses fabrications : du carton est suffisant pour des marionnettes
d’ombre, de la mousse souple, du papier collé sur un support
de base, des matériaux divers (pâte à modeler, à
sel, terre, boules de cotillons, cotons…) ou toute sorte d’objets
qui seront détournés de leur fonction première. Reste
à concevoir une « histoire ».
Le
plaisir de la création et de l’animation sera primordial
dans la communication.
Attention :
si le manipulateur peut faire dire tout ce qu’il veut à la
marionnette de façon plausible, le spectateur reçoit aussi
ces messages.
Des
règles de manipulation :
-
Une
marionnette ne se tient pas à la main si elle n’est pas
en scène. Dès que le manipulateur se met en situation de représentation,
il doit rentrer dans son personnage et son sujet tout de suite, et
ne pas vaquer à une autre occupation, car cela ne serait
pas plausible pour le spectateur. Quand
le marionnettiste décide de prendre la marionnette, alors il
doit lui donner immédiatement vie, même dans l’immobilité.
- « Il
est important pour la bonne compréhension du public que le manipulateur
anime son personnage chaque fois qu’il prend la parole ».
- Le
manipulateur doit porter son regard sur la marionnette afin que le public
suive ce regard et pose aussi le sien sur la marionnette et non sur
le manipulateur (qui n’est pas obligatoirement caché).
- Le
manipulateur reste derrière la marionnette qui doit être
visible de tout le public.
- Le
manipulateur parle distinctement et fort.
- Il
est indispensable d’identifier la marionnette et de la différencier,
lui donner un nom, un caractère, une fonction, un ton de voix,
un style de vocabulaire…. Cette identité du personnage
peut être différente d’une séance à
l’autre, mais doit garder une cohésion d’ensemble sur
la séance.
- L’entrée
et la sortie de scène de la marionnette doivent pouvoir être
clairement identifiées.
- Il
est fortement conseillé de ne pas faire autre chose en même
temps. Quand on est manipulateur, on est plus « maîtresse »
ou « maître ».
- L’instant
« Marionnette » est un moment privilégié
où le temps s’arrête, un moment de plaisir.
Réalisation
Proposition de fabrication
Une
base de marionnette de construction simple, peu chère et facilement
transformable au gré de votre imagination, de celle des enfants,
vous est proposée pour une utilisation collective (une marionnette
pour toute la classe). Sa forme creuse et vide permet une évolution
personnalisée (remplissage du ventre. grosseur ou maigreur,
ajout des yeux, d’un vêtement, d’un accessoire,
nœuds avec des rubans à l’endroit des articulations…)
A
vous de jouer en fonction du thème santé que vous avez choisi
de travailler.
Matériel
et lieu d’achat
Prix
indicatif
Plaque
de mousse souple de 0,5 m sur 1,50 m = environ 20 €
Possibilité
de faire une douzaine de marionnettes de 40 cm de hauteur sur cette plaque.
Schéma
de montage
|
-
Dessiner les personnages, pour savoir où l’on va. Ou
faire un prototype avec des bandes de papier un peu épais.
-
Découper les bandes de mousse : pour faire des découpes
nettes, prendre une règle, appuyer sur la règle pour
aplatir la mousse, et suivre la règle avec le cutter.
-
Pour coller la mousse : il faut encoller les 2 parties à
coller, laisser sécher la colle avant de relier les
2 parties
|
Ce
qui doit être réalisé par l’enseignant :
La découpe en bande de la mousse et des baguettes
L’assemblage par collage à la colle néoprène
Ce
qui peut être fait par les enfants :
La découpe de la longueur des bandes à l'aide de ciseaux (l'usage du cutter est reservé à l'adulte).
L’assemblage
à l’aide d’épingles sous contrôle de l'adulte pour que l’enfant
puisse imaginer son personnage. L’adulte collera ensuite le personnage.
Ce
qui peut se faire en commun :
La conception du personnage
« L’habillage » de la base de la marionnette
en fonction du thème.
PROTOTYPES :
Temps
de fabrication de la marionnette de base : ½ h
Montage
de la petite marionnette
de
40 cm de haut
1-
Découper à l’aide du cutter ou du couteau électrique
à rôti, sur un support dur qui ne craint rien, les bandes
de mousses et la baguette au format indiqué ci-dessous.
-
4 bandes de mousse de 1 cm d’épaisseur et de 2 cm de largeur
et de différentes longueurs (29 cm pour la tête, 40 cm pour
les bras, 40 cm pour le corps et 60 cm pour les jambes).
-
5 morceaux de 6 cm de long d’une baguette de bois de 0,5 cm de diamètre.
2-
Fermer la tête en fixant avec la colle les deux extrémités
de la bande.
3-
Idem pour le corps.
4-
Positionner comme sur la photo.
5-
Assembler la bande de la tête à celle des bras.
6-Assembler
la bande des bras et celle du corps en prenant en sandwich un bâton
de bois découpé.
7-
Assembler bien au milieu la bande des jambes et celle du corps.
8-
Fixer les 4 baguettes des jambes et des bras vers l’arrière
en repliant deux à trois centimètres de mousse aux extrémités
des bandes.
9-
Faire VIVRE la marionnette. Se l’approprier avant une première
manipulation devant les enfants.
Spécificités
de la marionnette des 5 SENS
-
Chutes de mousse pour les éventuels accessoires à découper
plus ou moins grossièrement avec des ciseaux (pieds, mains, nez, bouche,
oreilles).
-
2 balles de tennis de table pour les yeux.
-
Les accessoires sont fixés avec du velcro lui-même collé
à la colle néoprène. Ils sont donc amovibles.
Montage
de la grande marionnette
Taille
d’un enfant
Même
procédure avec de la mousse plus épaisse :
|
-
4 bandes de mousse de 2 cm d’épaisseur et de 4 cm de
largeur et de différentes longueurs (60 cm pour la tête,
100 cm pour les bras, 80 cm pour le corps et 120 cm pour les jambes).
-
5 morceaux de 10 cm de long d’une baguette de bois de 0,8
cm de diamètre. |
Spécificités
de la marionnette des EMOTIONS
-
Préparer des visages présentant des émotions différentes
avec du carton et des feutres.
Bibliographie :
CONSTRUIRE
UN PERSONNAGE : quelques exemples, une méthodologie
A vous d’adapter, de créer
en fonction de votre projet.
Des
objectifs :
Jouer sur les représentations des enfants
Transmettre
des messages « santé »
Interpeller
les enfants sur leurs comportements
Méthodologie :
Trouver
une identité au personnage : un nom, une voix, une personnalité,
une démarche, une fonction, des manipulations…
Les
thèmes :
Les
émotions : apprendre
à les reconnaître, les exprimer. Comprendre que partager,
dire, confier peut soulager et apporter du bien-être.
La
connaissance du corps : étude
des différences et similitudes entre le corps humain et celui de
la marionnette en mousse : (dur/mou – os, articulations, mouvement
possibles, fonctions vitales, représentation de l’intérieur
du corps…).
Les
sens : découvrir
les 5 sens, réaliser des expériences, dire ce qu’on
aime et ce qu’on ressent.
L’équipement :
Equilibre entre sécurité
et plaisir. Choix de l’équipement en fonction de la météo,
de l’activité, de l’environnement…
L’activité
physique : les comportements
actif/inactif. Equilibre entre le besoin de bouger et les moments de repos.
Rythmes de vie.
L’alimentation :
connaître différents
aliments, expérimenter différents goûts et s’exprimer
autour des comportements de chacun. Aborder les atouts de certains aliments
et la nécessité d’une consommation plus raisonnée
de certains autres.
L’hygiène corporelle:
les représentations
du propre et du sale, connaître les différents objets utiles
à l’hygiène corporelle, repérer les comportements…
La
sécurité : aborder
le respect ou non des règles de vie en collectivité, écoute
des consignes, risques (attention de terminer toujours par un discours
positif).
Des
évolutions possibles :
Grandeur
de la marionnette
On
peut imaginer une marionnette de 40 cm de hauteur mais on peut aussi penser
à une de la taille d’un enfant. Celui-ci pourra alors mettre
sa tête dans celle de la marionnette, fixer leurs pieds et leurs
mains. On peut même imaginer une marionnette à la taille
de l’adulte. (attention : l’épaisseur de la mousse
est de plus en plus importante).
Manipulation
seul ou à plusieurs
Pour
une manipulation plus fine et plus détaillée, la marionnette
peut être manipulée par deux enfants en même temps.
Nombre
de marionnettes dans la classe : d’une seule pour toute la
classe à une par enfant.
Attention :
la manipulation doit être un moment privilégié. Quand
un enfant manipule, ses copains le regardent.
Utilisation
seulement dans la classe ou réalisation d’un spectacle.
Utilisation
rituelle dans la classe.
Elle est introduite dans la classe comme une personne à part
entière. On la retrouve à un moment bien précis
de la journée. Elle est là, soit pour poser des questions,
soit pour transmettre des messages. Elle peut être infirmièr(e),
conseillèr(e), maître(esse), maman (papa), clown…
CHOIX
DE TROIS EXEMPLES :
Nous
avons choisi une seule marionnette pour toute la classe, fabriquée
par l’enseignant seul ou avec les enfants.
Les
thèmes ci dessous peuvent être abordés de façons
très diverses. Les propositions faites ne sont que des exemples
possibles d’interprétation qui ont été testés
dans des écoles.
1er
thème : Marionnette Emotions
Objectifs :
Reconnaître
des émotions.
Amener
les enfants à s’interroger sur l’importance de partager,
dire, confier des émotions, comme comportement favorable au bien-être.
Donner
des repères sur ce qui peut se dire en groupe et ce qui relève
de l’intimité, ce qui se dit au médecin, à l’infirmière,
à la maman, à un adulte.
Méthodologie :
Grandeur :
une marionnette en mousse aussi grande qu’un enfant. Celui-ci pourra
« habiter» la marionnette pour prendre la parole (mettre
sa tête dans la sienne, ses pieds sur les siens et ses mains dans
les siennes).
Nom :
Mr ou Mme … passe par des états différents :
colère, joie, peur, tristesse, envie, honte, amour, timidité…
L’histoire :
Chaque jour pendant une semaine, la classe et l’adulte vont prendre
des nouvelles de Mr ou Mme « Joyeux ou triste ou colère… »
L’adulte
interpelle la marionnette qui prend vie et parle de ses émotions.
Le manipulateur improvise en jouant avec cette émotion puis propose
à chaque enfant qui le souhaite de venir manipuler cette émotion
avec la marionnette.
Accessoires
possibles:
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Dessiner
ou faire dessiner aux enfants, sur du carton de la taille de la
tête de la marionnette, avec des formes plus ou moins rondes
ou allongées, des visages représentant différentes
émotions. Vous pouvez aussi utiliser les mêmes formes
simplement de couleurs différentes après avoir codé
avec les enfants les couleurs (exemples : vert
pour la honte, noir pour la peur, rouge
pour l’angoisse, jaune
pour la joie, blanc
pour la tristesse…).
Le
rond de carton que l’on souhaite est alors coincé à
l’intérieur de la mousse. |
|
2ème
thème : Marionnette des Sens
Objectifs :
Découverte sensorielle.
Dire ce que l’on ressent, ce que l’on aime ou non.
Méthodologie :
Grandeur :
Une marionnette en mousse pour la classe d’environ 40 cm avec un
panier garni de certains éléments (voir ci-dessous).
Nom :
Mr ou Mme « Tout sent tout » qui revient d’un
marché et découvre dans son panier des pieds et mains, des
yeux, un nez, des oreilles, une bouche ainsi que des éléments
à toucher, sentir, goûter, écouter, voir.
Histoire :
Chaque jour de la semaine, la marionnette prend vie et un des 5 sens est
à l’honneur (ajout des yeux, puis des oreilles, ou du nez,
ou des mains et pieds, ou d’une bouche…). La marionnette
découvre dans son panier différents éléments.
Elle fait participer les enfants à cette découverte ou bien
l’enseignant les oriente ensuite vers des ateliers préparés.
Contenu
du panier :
Sons :
instruments de musique, appôts, magnétophone et musique d’ambiance
sonore (ville, mer…), coquillage, silence…
Toucher :
coton, paillasson, herbe, paille, marbre, clous, plumes, tissus, farine…
Goût :
amer, sucré, salé, acide
Odeur :
épices, fleurs, plantes, aliments, odeurs de l’école
ou des lieux proches…
Vue :
papier transparent de couleur pour couvrir les livres ou gélatine
d’éclairage pour voir la vie en rose, bleue…, kaléidoscope,
observation d’un objet en 3 dimensions sous différents angles,
miroirs et miroirs déformants…
Accessoires
possibles:
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Ajout
des 5 organes représentant les sens (voir prototype petite
marionnette). Les accessoires proposés peuvent aussi être
en carton, boules de cotillon, papier… à vous de créer. |
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3ème
thème : Marionnette « Rythme de vie et activité
physique »
Objectifs :
Reconnaître des comportements sédentaires et actifs.
Transmettre des messages sur :
Importance
de bouger, de rire, de jouer, de la rencontre avec l’autre.
Importance des moments de détente, des moments sans activité,
de moments personnels.
Echanger sur ses rythmes de vie.
Connaître les possibilités de son corps humain : schéma
corporel, actions et positions possibles.
Méthodologie :
Grandeur :
peu importe.
Nom :
Mr ou Mme « Mou-Tonic ».
Histoire :
A force d’être trop « speed », Mr « Mou-Tonic »
s’épuise. A force d’être trop « cool », Mr « Mou-Tonic » devient mou. Alors un jour, Mr « Mou-Tonic «
décide de chercher un rythme qui lui convienne mieux, alternant
moments actifs et moments de repos. On l’appelle depuis Mr
« Equilibre ».
Manipulation :
Il
est important de travailler la manipulation d’actions plus ou moins
actives. Par exemple :
Accessoires
possibles :
Le
choix a été fait de réaliser la marionnette en deux
couleurs : moitié blanche, moitié grise et d’ajouter
une « houppette » en crin de cheval, relevée
sur la tête pour signifier le côté tonic ou aplatie
pour signifier le côté mou.
Marionnettes
et Rencontres sportives :
Dans
tous les cas, il est possible de :
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